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 Dogme général

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FrèreNico
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FrèreNico


Nombre de messages : 162
Date d'inscription : 29/12/2005

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MessageSujet: Dogme général   Dogme général EmptyMar 24 Jan - 15:56

Nous, La curie romaine autorité suprême par la grâce de Dieu, déclarons et définissons par la présente:

Dogme général Lithurgie27ee

Résumé de la liturgie Aristocélienne.



.........La liturgie Aristocélienne ici présentée et divisée en 6 temps plus un. Chaque temps compte 7 dimanches, soit environ deux mois. Chaque temps se termine par une grande fête en l’honneur d’Aristote, soit six grandes fêtes sur l’année.

.........Le septième temps de l’année qui commence début décembre, voire fin novembre, est le temps des grandes fêtes religieuses confondues dont celle de Noël qui célèbre la naissance de Jésus qui a apporté beaucoup à son peuple à l’époque. Cette période est la période adventice, elle s’ajoute aux autres. C’est un temps de préparation à la fête de la nouvelle année civile et de la nouvelle année liturgique, mais aussi à la naissance d’Aristote.

.........Le prêche principal se déroulerait le dimanche matin comme à l’habitude. Prenons l’exemple du premier temps de l’année liturgique pour montrer le fonctionnement :
Le premier dimanche de janvier serait le jour du prêche sur le péché d’Orgueil et de l’idée existentielle« Il vous semble raisonnable de dire que l’Etre divin est tout puissant ». Pour contrebalancer le prêche sur le péché, nous proposons d’y ajouter une vertu et sa valeur inverse, ici celles de l’Humilité et de l’Effacement. Ainsi le prêche s’axerait sur la façon de vivre sans commettre le péché, et les solutions à apporter pour y remédier.
Le dimanche suivant, la prêche serait basé sur le péché de gourmandise, avec les valeurs et vertus d’Abstinence et de Suffisance qui le contrebalance. La question existentielle abordée serait celle-ci « Il ne vous semble pas insensé de dire que la métaphysique est la science de ce qui est en tant qu’il est, et de l’étant en tant qu’étant »

.........Ainsi, les cinq questions existentielles seront abordées à chaque temps de l’année liturgique et répétées six fois au long de l’année.

.........A la fin de ce premier temps de la liturgie, on retrouve la première grande fête en l’honneur d’Aristote. Celle-ci se situerait vers la fin février. Lors de cette grande fête, le prêche serait orienté vers la vie proprement dite d’Aristote, un moment fort qu’il a vécu et qui offre peut-être une forme de vertu, de péché ou de valeur abordés au cours du temps précédent. En plus de ce prêche spécial, certains corps de métier seraient mis en avant lors de ces fêtes avec la célébration des trois saints choisis pour l’occasion. Ici, lors de cette première fête, il s’agirait des cultivateurs de blé, maïs et légumes dont les saints patrons sont respectivement saint Isidore saint Médard et saint Fiacre. Chaque prêtre voit à ce moment là ce qu’il peut en tirer et la fête populaire qui peut être mise en place dans le village.

.........Les baptêmes et les mariages seront célébrés à des moments précis de l’année. Ainsi, les mariages et baptêmes en janvier ne pourront se faire que le 3ème dimanche de l’année, le 5ème dimanche (fin janvier, début février). Il faudra attendre au plus deux semaines avant de se faire baptiser (ou de se marier), car durant les fêtes d’Aristote il sera possible de se faire baptiser ou de se marier.

.........Pâques reste une fête majeure du calendrier liturgique (Pâques tombent entre la mi-mars et la fin avril, et seront célébrées en parallèle à celle irl). Le jour de cette fête, nous célébrerons la résurrection de Jésus comme d'habitude. (voir plus bas le rôle de Jésus dans la religion)

.........La Toussaint sera comme à l’habitude célébrée début novembre et sera comme son nom l’indique la fête de tous les Saints. Le lendemain, le jour des morts, est toujours d’actualité.

.........Le dernier évènement majeur de l’année liturgique sera, comme je vous l’ai dit plus haut, la Période Adventice. Lors de cette période, nous célébrerons les saints joueurs comme FrèreNico le voulait. Nous célébrerons aussi la fête de Noël avec la naissance de Jésus. Toute cette période doit être comprise comme un temps de préparation à la naissance d’Aristote et à la nouvelle année liturgique, un peu comme la période de l’Avent.

NOTE : Les 3ème et 5ème dimanche de chaque temps de l’année liturgique ne font pas l’objet d’un prêche sur une question existentielle, mais la place est laissée pour les baptêmes et les mariages.

PERE AARON - ABBAYE DE NOIRLAC


Chapitre Premier

    1) "L'Amitié Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres baptisés. ce point rejoint la notion traditionelle du Baptême qui introduit dans la communion des Saints. Le Baptême, ou rite d'entrée dans l'Eglise Aristotélicienne, donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite. Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres. On peut parler a ce niveau d'une première étape de la vie spirituelle, celle des commençants, dans laquelle l'aristotélicien essaye de supprimer les vices qui demeurent en lui. On appelle aussi cette voie la voie Purificatrice, qui purifie l'âme de ses souillures.

    2) Ensuite vient l'étape des progressants, ou voie illuminative dans laquelle l'Aristotélicien, débarassé de ses vices, pratique activement les vertus et développe par là son lien avec Dieu et son prochain. Le point central de cette étape sera la pratique de la charité fraternelle, et la preuve première de la sainteté devra être le rayonnement spirituel auprès des autres. Le but de celui qui pratique cette voie est avant tout d'aider ses drères sur le chemin de la foi Aristotélicienne et de l'amitié Aristotélicienne.

    3) Enfin nous touchons à l'amitié parfaite, ou voie unitive. Cette voie est celle des parfaits. Il faut comprendre que le premier Ami de l'Aristotélicien est Dieu, et que c'est dans une relation privilégié avec Lui que se situe le plus haut point de la spiritualité. Cette amitié avec Dieu se traduit par une profonde charité pour les autres, avec un sens parfait de l'amitié et une force de caractère qui permet de montrer aux autres la vérité sans les blesser. Mais cette union avec Dieu aura une condition, celle d'avoir une amitié parfaite sur cette terre avec un de nos prochain. Ne pourra acceder au titre "d'Ami de Dieu" que celui qui aura concrétisé son aspiration à la perfection par une union d'ame avec un autre Aristotélicien.

Je dois noter une chose a ce propos, l'amitié Aristotélicienne en tant que telle est réservée aux baptisés, puisqu'elle est une communauté de vie objective autant que subjective. Dans son fondememnt du moins. Ce qui n'exclut pas une charité particulière pour les autres, que l'on développera particulièrement dans la deuxième étape, la voie illuminative.

    Dogme général Ea-brunFait à l'abbaye Cistercien de Noirlac le 24ème jour du mois de décembre de l'an de grâce 1453


PERE LESCURE - ABBAYE DE NOIRLAC


Chapitre second sur l'Amitié Aristotélicienne: Les rapports avec les pouvoirs publics...


Nous avons dit que plus qu'un sentiment subjectif, l'amitié Aristotélicienne établie, par la voie du baptême, une communauté de vie objective entre tous les baptisés, entre les membres de la société céleste et ceux de la société terrestre. Cet élément a de grandes conséquences sur le tissu social, et sur la conception que nous devons avoir de la place de la Religion dans l'organisation temporelle du monde.

    1) La communion des saints, fondement de toute société.

    Par souci de clarification, nous appellerons cette communauté de vie la "communion des saints."

    Le but premier de l'organisation temporelle des sociétés est de mettre en place les structures pour permettre aux hommes le développement de toutes leurs facultés matérielles et spirituelles. Dans cette optique, une société qui ne serait pas basée sur le concept de communion des saints manquerai gravement a son but, puisqu'il lui manquerait le stade le plus élémentaire et le plus fondamental de l'union entre les hommes et de toute vie sociale aristotélicienne.
    Il en résulte logiquement que pour être pleinement intégrée dans une société conforme a l'idéal aristotélicien, il faut être soit même membre de la communion des saints, être membre de l'amitié aristotélicienne. Ceux qui ne le sont pas ne possèdent pas les bases fondamentales de la vie en société, ils sont des déchirures dans le tissu social, et comme toutes les déchirures ils risquent de s'étendre et de mettre en danger l'existence même de la société.

    On comprend donc la nécessité qui s'impose aux pouvoirs publics, pour le bien même de la société qu'ils dirigent, de mettre tout en oeuvre pour éviter cette déchirure, car c'est la survie même du tissu social qui est en jeu. Les pouvoirs publics auront donc soin de préserver le caractère Aristotélicien de leurs administrés, et de soutenir les efforts de la Sainte Eglise pour le salut des âmes et la bonne marche de la cité de Dieu, sur terre et au ciel.

    2) Du statut des religions partiellement admises.

    Certaines religions, bien que manifestement erronées, possèdent en elle quelques graines de vérité. Il s’agit du Spinozisme et de l’Averroïsme. Ces religions ( on peine a leur donner ce nom, étant donné leur erreur manifeste) on donc un caractère moins nocif que les autres erreurs. Il faut donc leur donner un statut à part, que nous appellerons « statut de tolérance ». Les membres de ces cultes doivent être mis, autant que possible, à l’écart de l’autorité publique, car le spectacle de leur erreur aurait des conséquences sur le peuple qui serait on ne peut plus néfastes. De plus n’étant pas unis au corps social par la communion des saints, ils y aurait un manque manifeste dans la cohésion sociale. Il faut donc les tolérer mais pas leur laisser le pouvoir.

    Dogme général Ea-brunFait à l'abbaye Cistercien de Noirlac le 24ème jour du mois de décembre de l'an de grâce 1453


PERE LESCURE - ABBAYE DE NOIRLAC


Chapitre troisième: le rôle de l'amitié dans la conception de la hiérarchie de l'Eglise


Nous avons dit que chaque "aristotélicien" est uni aux autres par un lien spécial qu'il reçoit dans le Baptême. Ce lien fait de son existence un chemin vers la lumière, chemin qu'il ne parcourt pas seul mais en communauté.

    1) L'histoire de la communauté

    Pour quelqu'un qui avance il faut deux choses: la direction et la force d'avancer. Nous allons maintenant voir pourquoi la hiérarchie est nécessaire pour un Aristotélicien.

    Aristote nous a enseigné il y a près de 1800 ans une doctrine complexe, dont le but est de nous ancrer dans le Bien, dans le Beau, dans le Vrai. Cet ancrage se fait par la contemplation de la beauté éternelle de Dieu, et par la transcription de cette beauté dans les choses de tous les jours. Mais après la mort d'Aristote, ou plutot après son accession à la gloire de la contemplation, il nous fallait des guides qui transmettent fidèlement son message aux hommes de tous les siècles et de toutes les cultures. C'est pour cela que vers les années 30-35 de notre ère une assemblée de sages se tint à Tarse. Cette assemblée réunissait les héritiers de la tradition philosophique Aristotélicienne et les disciples de Christos le Sage , avec leur chef Paul. C'est cette assemblée qui décida de la fondation d'une institution qui unirait les deux traditions dans une même vision, faisant ainsi la synthèse des plus beaux enseignements humains et divins.
    Cette assemblée fut très vite visiblement assistée de l'Esprit Divin, et la religion aristotélicienne se répandit dans tout l'Empire Romain, malgré les persécutions que le diable ne manquait pas de mettre sur son chemin.
    Mais malgré les vagues de la persécution, malgré le tourment des hérésies, l'Eglise garda sa rectitude originelle grace à sa hiérarchie soudée.

    2) Le secours divin nécessaire pour le chemin

    Cette constance de l'Eglise de Dieu n'est concevable au milieu de tant de vicissitudes que par l'action très sainte de Dieu, par l'intercession d'Aristote et des saints de tous les temps, spécialement les martyrs qui sont morts pour la gloire et la lumière éternelle. Cette aide de Dieu avait un canal: la hiérarchie de l'Eglise.

    En effet dans l'Eglise certains sont appellés à être davantage que de simples aristotélicien: ils sont appellés à être les guides de leur troupeau, et ils reçoivent pour cela une grace spéciale qui se nomme l'ordination. Si le baptême introduit dans la communauté spéciale qu'est l'amitié aristotélicienne, l'ordination fait du fidèle croyant un membre à part, choisi, élu pour une fonction particulière qui est celle de guider les fidèles et d'être le canal de la lumière dans les âmes.

    3) la hiérarchie

    Le premier de ces hommes est le Pape, représentant de la lumière divine sur terre, celui qui a reçut en dernier recours le droit et le pouvoir de trancher toutes les questions religieuse, dans le respect toutefois de l'oeuvre de ses prédecesseurs.

    Puis viennent les cardinaux, les hommes illustres qui par leur action, leur générosité et la profondeur de leur inspiration par l'Esprit de Lumière, ont mérités d'être les instruments de Dieu pour la désignation du nouveau pape.

    Les évêques sont les canaux de la grace de Dieu dans les âmes des fidèles. Ils sont les pères de leur diocèse et veulent le salut de tous.

    Et enfin les curés sont les fidèles assistants des évêques dans cette tache difficile de guider les âmes vers la contemplation de la Beauté éternelle : Dieu lui même. Le curé est un prêtre qui a reçu une mission particulière de l'évêque.

    Les prêtres sans cure sont des auxiliaires précieux, et ils peuvent aider les curés dans leur tache, ou bien assister l'Evêque au conseil diocésain.

    Les diacres se donnent aussi à Dieu, mais ne reçoivent pas cette ordination spéciale. Leur service particulier les poussent d'abord à aider dans la gestion matérielle de l'Eglise.

    Dogme général Ea-brunFait à l'abbaye Cistercien de Noirlac le 24ème jour du mois de décembre de l'an de grâce 1453


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